jeudi 22 mai 2014

Quid des derniers des Mohicans.... (1)





Cinq ans de vie pour une revue, un magazine, c’est très certainement bien plus que cinq fois la vie d’un papillon.  Tant le temps du monde est devenu volatile.
Virtuel ?...
Ces cinq années de vie et de parution sont pour l’essentiel  dues à la détermination de sa directrice et, au fil des numéros généraux ou aux spéciaux de la publication, le fait aussi des amies et amis - contributrices et contributeurs - dont à l’occasion de cette « borne » des cinq, on se dit : peut être ne sont-ils pas / ne sommes nous pas les derniers des Mohicans
Ce qui valait bien « la messe » d’un Forum d’une journée ( le 11 mai) et cela au plus grand profit des rencontres pour d’étonnants récits de voyages d’écrivains, de romanciers, de traducteurs, essayistes et poètes  toujours défiant les cours des  fleuves et langues de nos vies plurielles et de nos  cultures-continents…
Pour « raconter » (un peu) cela, j’ai laissé faire le hasard de mon regard au 1/250è de seconde… (sauf pour la dernière photo) .Ce qui m’a donné la possibilité de happer quelques dizaines d’images, par lesquelles j’ai  espoir de « suggérer »ce que fut cette riche journée anniversaire…

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Amin Khan à droite, philosophe, économiste et poète, déjà édité à Alger par la SNED dans les années 80, auteur du recueil poétique « Arabian Blues»  en 2012 , préfacé par René Depestre et Lauréat du Premier Prix « Nikos Gatsos » Méditerranée de la poésie et le Prix François Copée de l’Académie Française en 2012. 
A sa gauche : Ikhlef Abdecelem, traducteur (également photographe à ses heures), spécialiste de l’œuvre de Malek Hadad qu’il a grandement évoqué durant son intervention.

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La romancière et animatrice d’ateliers d’écriture Leila Hamoutène (« Le châle de Zeineb » est son dernier roman paru à Alger en 2014) – qui entre autres Assia Djebbar et Taos et Jean Amrouche aura brillament intervenu sur les maîtres de la généalogie de la littérature algérienne.
Accompagnée (au centre) de Yacine SI Ahmed antropologue et journaliste spécialiste de la Méditérannée ainsi qu’à ses cotés de Hamid Nacer Khodja qui a contribué cette année à la publication d’un ouvrage d’articles de critiques d’art de Tahar Djaout, de trois ouvrages sur Jean Senac dont sa thèse de doctorat : « Jean Sénac critique algérien »….

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(à suivre)

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